1967
Informations sur l’Esperanto
Après un effort important d’information l’année dernière (petite exposition, affiches, 1600 dépliants, 6 articles de journal…sans résultat !), nous n’avons pas reconduit cet essai
Cours – Réunions
– Les cours parlés ont été un fiasco comme d’habitude à Nancy.
– Le cours par correspondance fonctionne depuis 16 ans. Ce cours avec 10 correcteurs dans 8 départements n’a réussi à recruter que 6 élèves.
– Réunions
Sous l’enseigne « Nancy-esperanto », en commun avec l’ancien groupe de Nancy, des réunions ont eu lieu régulièrement, depuis l’an passé jusqu’en février, mais seulement une fois par mois, le deuxième mardi. Chaque fois 3 à 10 personnes étaient présentes. Un cours pour progresser a lieu 2 fois par mois.
Nous essayons actuellement de revivifier de diverses manières, les activités en espéranto. De plus, la maison des jeunes du centre (qui possède maintenant 1500 membres – non-espérantistes… et seulement 3 espérantistes !) est le siège de nos activités ; nous avons d’abord renforcé l’action de la section espérantiste de la maison des jeunes : participation à l’administration de la maison, représentation aux réunions mensuelles du « conseil de la maison », où des représentants de toutes les activités discutent des problèmes d’organisation. Cela a déjà changé l’ambiance dans la maison des jeunes, on est mieux considéré dans le milieu des jeunes (la direction a toujours été favorable, mais pas les jeunes !)
Nous avons essayé d’annoncer 2 réunions d’information sur l’espéranto, mais c’était trop tôt : seules 2 personnes sont venues s’informer et le cours n’a pas pu fonctionner jusqu’à maintenant. De plus, on vient juste d’installer une (luxueuse !) bibliothèque dans la maison des jeunes, où 2 étagères sont réservées à l’espéranto. Nous avons pu alors y déposer les plus beaux livres de notre bibliothèque (les livres restants et les brochures sont chez des particuliers).
La section espérantiste de la maison des jeunes (3 membres) existe officiellement. Avec 15 membres de U.F.E à Nancy et dans sa banlieue, une collaboration rendrait possible la reconstruction du groupe de Nancy comme « Centre Culturel ».