Cours

 Tous les mercredis
(sauf vacances scolaires)
de 19 h 30 à 20 h 30.

Ĉiun merkredon
(krom dum la ferioj de lernejoj)

de la 19a30 ĝis la 20a30.

Salle Andy Warhol
MJC Philippe Desforges
27 rue de la République -Nancy

Poŝtmarkoj
Vojo Zamenhof
Citation-Citaĵo
Le monde

Marie Marvingt vivis nur 5 jarojn en sia naskiĝurbo Aurillac. Ŝia patro Félix Marvingt, denaske normandano, laboris unue kiel poŝtoficejestro en Metz (Loreno), kie li edziĝis kun Elisabeth Brusquin. Iliaj tri unuaj filoj mortis fruaĝe. Pro la malvenko de Francio dum la milito de 1870, Alzaco kaj Loreno restis dependaĵoj de Germanio ĝis 1918. La geedzoj rifuĝis al Aurillac, kie Félix fariĝis poŝtoficeja direktoro. En 1875 naskiĝis ilia filino Marie, kaj en 1878 ilia filo Eugène. La familio finfine revenis al Metz en 1880.

Marie MARVINGT a vécu seulement 5 ans dans sa ville natale AURILLAC. Son père Felix MARVINGT , né en normandie, a travaillé d’abord comme receveur à METZ, où il s’est marié avec Elisabeth BRUSQUIN. Ses trois premiers fils sont morts jeunes. Après la défaite de la FRANCE, à la fin de la guerre de 1870, ALSACE et une partie de la  LORRAINE restèrent dépendances de l’ ALLEMAGNE jusqu’en 1918. Les époux se réfugiérent à AURILLAC, où Felix devint directeur postal. En 1875 leur fille Marie est née et en 1878, leur fils Eugéne. La famille enfin est revenue à METZ en 1880.

Article au sujet de  Marie Marvingt

Un article est  paru dans « La Praktiko », une revue illustrée très intéressante (qui a disparu maintenant). Cet article de trois pages avec 7 photos avait comme titre « l’espérantiste française Marie Marvingt, la femme la plus extraordinaire après Jeanne d’ Arc ». Les journalistes américains ont donné ce titre à l’article paru en langue anglaise dans un journal américain, et un espérantiste l’a traduit pour « La Praktiko ».

En fait, Marie Marvingt a vécu à Nancy, au moins pendant les dernières années de sa vie. Elle était essentiellement connue comme aviatrice. « J’ai eu plusieurs fois l’occasion de discuter avec elle, car elle était cliente de mon lieu de travail. Elle venait aussi une ou deux fois aux réunions d’Espéranto à Nancy.  Elle est restée extraordinairement vive, mentalement et physiquement. Elle faisait toujours du vélo. J.Colnot La informilo 1956

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